La belle affaire

 

Version 4.2_page 16-12_janvier 2024

 

Parmi les papiers récupérés l'été 2022 il y en avait, qui concernaient la maison de la rue Yves Collet avant sa destruction lors des bombardements, qui ont précédé la libération de Brest.

 

Dès le départ il y a des travaux à faire.

 

Que signifie la ligne « perte au change » ? Et les frais de procès ? Et Monsieur Le Corre ? Est-ce le vendeur ?

L'entreprise Rousseau est spécialisée dans la réparation des toitures ; on la retrouvera à plusieurs reprises

 

De quel Potin s'agit-il ?

Il y a désormais l'eau courante (on est fin 1930!)

L'affaire Roux ?

Fin 1930 on arrive à 90722F

 

D'où vient l'argent ? On verra le compte financier dans la page suivante.

 

 

On voit apparaître une réparation des plaques de fibrociment de la façade. Le dessin de l'architecte lors de la reconstruction est donc vrai. On arrive à 96000 Francs.

 

Il est question de l'écoulement des eau sales.

A l'époque les eaux grasses, qui provenaient de la cuisine partaient directement au caniveau, comme on pouvait le constater encore après guerre dans les rues du quartier.

Le lavoir a désormais un toit.

La salle de bains est faite cette année là.

 

Le total arrive à 116000 francs et ce n'est pas fini ; il y a encore des interventions en toiture.

La liste des dépenses s'arrête fin 1942, probablement parce que les occupants ont été priés d'évacuer les lieux en raison des bombardements incessants. Il en restera encore un en 1943.

 

Le total est impressionnant, compte tenu du prix de départ : 25000 francs, mais il faut tenir compte de l'inflation. Elle doit varier selon les prestations et un coefficient moyen de 3 n'est pas à exclure, ce qui ramènerait un montant des dépenses de l'ordre du prix d'achat en francs constants.